Pratic Kick

Pratic Kick. Deux mots qui ont le don de m’irriter. Ma femme vous dirait que tout m’irrite en ce moment. Les voisins et leur sale manie de cuisiner des trucs qui sentent le chaud et le sale. Comment réussir un tel tour de force de la Toussaint à Pâques ? Les factures bien sûr, les clients qui ne savent toujours pas où ils ont mal malgré les diagnostics. Qu’à cela ne tienne, leur maladie est identifiée, leurs souffrances professionnelles également mais impossible pour eux de prendre une décision. Rien ne saurait les engager. Enfin s’ils cherchent la solution ultime qui leur garantira un parapluie de la taille de l’Empire State Building et une paire de bretelles en adamantium et une belle grosse ceinture en plomb. Assurance, réassurance oui ergonomie et réactivité, non.

Sûrement pour ça que Pratic Kick me casse les couilles. Attention, je n’ai jamais eu affaire à eux. Jamais fait de journée portes ouvertes ou de cours gratuits ou de journée d’initiation peu importe comment ils ont baptisé leur formule promotionnelle. Je n’irai pas de toutes manières. Ce qui m’insupporte plus que tout, ce sont leurs sacs à dos. On a les emportements qu’on peut, non ?

Voilà le mien. L’un des miens. Et vous, qu’est-ce qui vous reste en travers de la gorge ? le crincrin du petit blond du deuxième, eh oui vous avez découvert que les basses montaient vers le haut de l’immeuble mais que les aigus n‘étaient pas en reste…